Annonce d'évènements

Bienvenue et Merci pour votre soutien et pour votre aide - Enquêtes Publiques débutées le 20 juin 2011 et terminées le 18 août 2011 à 17H30 - Avis de l'Autorité Environnementale défavorable - Avis de la Commission d'Enquête défavorable - Le projet actuel est rejeté par l'Etat - Le préfet de Vendée ne veut pas d'un port de plaisance sur le site de la Normandelière - Le nouveau défi : le SCOT du Pays de Saint Gilles et le PLU de Brétignolles -

dimanche 13 octobre 2013

Normandelière et des ROM à la ferme ?








Il semblerait bien que des ROM ( Rebelles aux Ordres du Maire), des partisans de Christophe Chabot et de son projet de port de plaisance contre nature mais électoral, des soutiens d'un maire candidat aux prochaines élections municipales de 2014, vont "squatter" les locaux de la ferme de la Normandelière, ce bien, désormais public, acheté à prix fort par la municipalité de Brétignolles sur Mer et actuellement sous le coup de deux procédures administratives ( une intentée par la Vigie, l'autre par le Préfet de Vendée).

Ce bien public, à la charge des contribuables locaux, deviendrait-il le QG de campagne du maire ?
Cette occupation ne serait-elle pas, pour une grande partie de la population Brétignollaise, une nouvelle provocation de Christophe Chabot ?
Mais les ROM peuvent être rassurés, le maire de Brétignolles sur Mer ne parlera pas "d'occupation illicite" d'un bien public, "ne fermera la mairie jusqu'à ce que la situation soit régularisée" - Ouest France du 29 juillet 2013 -

Dans Plus d'Infos :
Un nouveau coup de gueule du gâtchénou que nous retrouvons avec plaisir.

Le gâtchénou réagit à l'article du 11 octobre 2013


Normandelière et Cricri a réveillé l'gâtchénou

Salut to l’minde, Vo m’avé r’connu
Oléma L’gâtchénou
Comment quo va à matin ?

I sé scandalisaïlle de totes tchées manigances
Allez y lé gâs d’ Beurtignôôlles  
Vo zavez ouvert vot ‘ pot’monaïlle, vo zavé bé vu 
O lété prévu, Pi olé pa fini,  por sur que non
O lé l’début des «  tu paies et tais toi, tu as voté »
Pan ! .…
A c’ture o lé gran’ temps d’écarallaïllé lé zeïlles
Vo voillez bé qu’le gâs d’LaChapelairmié,
En a rin a foute de Beurtignôôlles pi do port
Olé l’pognon qui l’intéresse pi cé tout
Lé combines, lé copains, lé zarrangements
I’en avons assez do margoulins
Qui s’cachant darrère do faosses convivialités
Par davant por mieu bézaïlle lé gâs par darrère
Pi faire tout boune aize leurs zaffaires.
I en avos marre de tote tchette  comédie.
Olé fini l’temps do seigneurs
Cricri l’a pu son cheval blanc, mé l’a son 4x4 blanc !
Por arpentaïlle sé terres, l’dimanche o matin
pi vouère en souriant à ses gens qui payant l’impôt.,
si tout est calme. Soyons en colère …
Il est fini le temps des cathédrales ….

Beurtignôôlles appartien aux gâs d’ Beurtignôôlles 
Pi cé tout, si vo zen avez marre : virez le !
Olé pa compliquaïlle,: votez pa por li la prochaine foué
Olé pa compliquaïlle , Olé comme tchu qu’i o comprin !
Défendons le Beurtignôôlles qui yaimons.
Apré i’ s’ra trop tard, le féra c’qu’le voudra : le pire.
Car li, le sé bé mète to l’minde dans sa poche
Y fo qui soillons pu mâlin qu’li, et que « Brochette » !
Pa dur !

Allez à bétou
Oléma L’gâtchénou
11/10/2013

Le billet de Yannick Jaulin sur les déchets et l'écoparticipation.... Que dire? Que la vie urbaine déresponsabilise, que la sous-traitance de la vie pratique donne forcément de la place à des intérêts économiques importants...  Je me dis qu'en Vendée si la résistance au mot écologique n'était pas aussi forte, il y aurait des centaines d'initiative de bon sens, juste pour se faire ensemble une vie moins dépendante de "gros machins" inmaîtrisables  ...














Petit Supplément 


Sud Ouest du 14 octobre 2013 - Autoroutes : l'A 65 n'en finit pas de perdre de l'argent.
Pour ceux qui soutiennent mordicus l'A831.
Qu'ils aillent aussi faire un tour sur l'autoroute entre Saintes et Rochefort et ils verront !

10 commentaires:

Anonyme a dit…

Les travaux de préparation du sol sur le site de la Normandeliére , ont pour but de semer des COQUELICOTS (si, si ….) sur 10 hectares pour qu'au printemps prochain une belle photo aérienne soit prise délimitant l’emprise du projet, pour encore mieux convaincre de son impossibilité ? Les techniques de marchand de foire vont bien finir par s’épuiser, notre patience est mise à dure épreuve !

Anonyme a dit…

Erreur ,anonyme de 9h57, ce sont des chrisantèmes qui pourraient bien sonner le glas .

Anonyme a dit…

Semer des coquelicots voilà une bonne idée! pendant qu'il fait ça, au moins il ne fait pas de bêtises.
Bon! c'est toujours au frais du contribuable mais les coquelicots c'est toujours mieux que son foireux projet de port et comme le dit JYB c'est un financement par le contribuable de sa campagne électorale.
Mais ne nous trompons pas c'est aussi pour amuser la galerie comme l'a dit l'anonyme de 09:57.

J'aimerai revenir sur la chronique de Yannick Jaulin sur les déchets et l'écoparticipation.
Quand est il de la directive Européenne 2008/98/CE et de l'engagement 243 du grenelle de l'environnement?

"La loi de programme relatif à la mise en oeuvre du Grenelle Environnement dans son article 46 précise que « la redevance d’enlèvement des ordures ménagères (REOM) et la taxe d’enlèvement des ordures ménagères (TEOM) devront intégrer, dans un délai de cinq ans, une part variable incitative devant prendre en compte la nature et le poids et/ou le volume et/ou le nombre d’enlèvements des déchets"

- Quand est il de la réflexion communautaire sur ce sujet?
- Quelles vont être les impacts de cette loi sur le fonctionnement de la collectivité?
- Quel va être le coût de ce nouveau mode de gestion pour les particuliers?

En attendant le président de la communauté de communes sème des coquelicots sur les terres agricoles de la Normandelière...
Le ramassage des OM, le traitement et la facturation qui en découle, c'est un sujet dont il se contrefiche (c'est mon avis). Ne rien faire, c'est là aussi, un autre boulet, c'est faire une croix sur les aides et le soutient technique de l'ADEME et surtout vous pouvez être sur que ce sujet sera traité par "dessus la jambe" en dernière minute et qu'au final il risque de coûter cher au contribuable.
Plutôt que d'avoir une réflexion de fond sur le sujet, Monsieur préfère un passage a la TEOM généralisé, ne répondant pas aux critères de la loi, pour tout le secteur (plus facile et moins risqué). La partie incitative et le comment elle devra être traitée et mise en place avec les problématiques d'évolution de la population lors des périodes estivales ne sont pas réfléchies comme pour la compétence assainissement mieux vaut botter en touche. Mais c'est pas comme ça que l'on atteint le but!

Yannick Jaulin a parfaitement raison de nous alerter sur ce sujet Ce n'est pas une simple caricature!
Merci Mr Jaulin!

Nap ne lâchez rien!!!

Sam Agace

"Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages :
Tout bourgeois veut bâtir comme les grands seigneurs,
Tout petit prince a des ambassadeurs,
Tout marquis veut avoir des pages."

Anonyme a dit…

Ainsi, la commune de Brétignolles va semer 10 ha de pavot ... (*)
* : en fait, le coquelicot est inoffensif, même s'il fait partie de la famille du pavot, sa culture est autorisée !

Par contre, Cricri est plein d'espoir : le coquelicot se sème au printemps ou en été selon la variété, et à cette date, on aura changé de maire !

Il faut rire pour ne pas pleurer, car tout ça coûte encore des sous pour rien !

Selon les présentations du début de l'été, il reste une partie de zone humide dans l'emprise du port. Serait-il en train de la ravager ? ça permettrait de dire ensuite qu'il n'y a plus de zone humide du tout dans l'emprise de son port exemplaire ? J'ai sans doute trop d'imagination ...

Olivier RICHARD a dit…

En ce début d’automne Chabot croit donc amuser la galerie.

Il sème du pavot et installe sa cartomancienne patentée dans la ferme de la Normandelière!

Tout cela bien évidemment au frais des contribuables.

Pendant ce temps les graves problèmes que rencontrent ou vont rencontrer les Brétignollais(ses) ne sont pas pris en charge et encore moins traités:
- l'explosion de la dette
- l'assainissement (voir le long dossier qui vient d'être publié sur ce blog)
- la collecte et le traitement des ordures comme le souligne très justement Sam Agace.
- ...

Voilà toute la futilité de Chabot.

Avec Chabot tout est possible, surtout le pire.

Girard du Marais a dit…

Une suggestion : on moissonne les coquelicots, on en extrait la poudre, et on envoie le distillat à la mairie, pour rire ! Une petite dose de morphine pour anesthésier les velléités de not'bon maire ! Ou une bonne overdose, pour en finir !

Bon, on rigole.. Le jour où les coquelicots fourniront de la morphine, les moissons auront des rendements stupéfiants ! !
Vaudrait mieux moissonner les coquelicots AVANT la photo, c'est plus efficace...
Au fait, quel est le prédateur du coquelicot ?
Si on entamait le combat sur le terrain bio ? !

Allez, si le gag des coquelicots est vrai, c''est hallucinant. Invraisemblable. Et pourtant, avec un fada de maire pareil, tout est si crédible !

Amusez-nous, Monsieur Brochet, de nous confirmer tout cela !

Anonyme a dit…

Le site de La Normandelière devient rocambolesque avec cette affaire de coquelicots ! si elle est authentique du moins !

Mais avec Chabot, tous les gestes et manoeuvres sont significatifs de son esprit pervers, ce qui me fait dire que je crois dans la version de l'anonyme de 20h15 !

En effet, allez savoir si dans un délire de plus, Chabot ne veut pas prouver que la zone humide est bien plus réduite qu'il est dit, en y faisant pousser des coquelicots, surtout dans la partie que son merdique second projet de port impacte !

Ce n'est plus la technique du maquignon que Chabot utilise comme à son habitude, mais celui des amuseurs de cirque !

Au final, au moment du bilan de l'ère Chabot, quelle sera la réputation de Brétignolles sur Mer, çà devient catastrophique !
C'est la question que tout électeur de Brétignolles, partisan ou opposant au por, doit se poser et agir en conséquence s'il veut que çà cesse !

Anonyme a dit…

puisqu'il est question des ordures:
25euros le M3 de gravats, 22 le tout venant, 12 le bois et 6 euros les déchets verts ; les entreprises vont payer, mais avec des heures d'ouverture des déchèteries toujours pas adaptées aux entreprises

Anonyme a dit…

Sur le site, une mare a été comblée (voir les images sur google maps par exemple et constater sur place sa disparition)en l'absence de toute déclaration préalable, Je cite les textes :
La « mare » fait partie des zones humides définies par la loi sur l’eau de janvier 1992 à savoir : « terrains exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; à végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles … » (article L.211-1 du code de l’environnement)

La mare est généralement une propriété privée.

Le maire est responsable de la salubrité publique dans sa commune et sur ce fondement, peut demander au propriétaire d’une mare de prendre les mesures nécessaires (travaux, suppression…) pour faire cesser les causes de la salubrité.

La préservation de la mare est d ‘intérêt général selon la loi sur l’eau. En effet, la mare est considérée comme un écosystème aquatique à préserver (article L.211-1-1 du code de l’environnement).

D’après le décret n°93-743, pour tout assèchement, remblaiement, imperméabilisation, d’une mare dont la superficie est égale ou supérieure à 1 000 m2, une autorisation préalable est obligatoire. Lorsque la superficie est inférieure à 1 000 m2, une déclaration préalable est nécessaire.

Il en ressort que d’après la loi sur l’eau et le code de l’environnement, le remblaiement d’une mare est soumis soit à autorisation, soit à déclaration préalable (en fonction de la superficie). C’est le préfet par l’intermédiaire des services de l’Etat (police de l’eau) qui donne son accord pour cette action.

Par ailleurs, au préalable la marie vérifie la compatibilité du projet avec le PLU, POS ou carte communale.

Article rédigé par Mlle. Touffette pour Information-juridique.com

Anonyme a dit…

En parlant de moisson il faudrait commencer à moissonner tous ces piquets blancs autour de la ferme. Dans d'autre temps ceux de la centrale nucléaire avaient été retiré.
Ils n'ont pas le droit d'occuper ces terres qui ne sont pas à eux.