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jeudi 26 décembre 2013

Normandelière et la lettre du Père Noël … 2012













La lettre de Bruno Retailleau, du 14 janvier 2013, apporte un éclairage intéressant sur le soutien du Conseil Général au projet de port de plaisance sur le site de la Normandelière, sur le soutien prudent d'un président "ami". Quand il s'agit d'intérêt général, c'est toujours étonnant de voir "amitiés" à la fin d'une lettre d'engagement d'un responsable local.

Jusqu'à aujourd'hui, on n'avait que l'interprétation partisane de Christophe Chabot concernant son entretien avec Bruno Retailleau du 13 décembre 2012. La position réelle du Conseil Général n'avait pas été communiquée au public et pourtant les choses sont claires depuis début janvier 2013.

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D'abord un groupe de travail du Conseil Général a engagé, en 2013, une consultation pour "réaliser l'évaluation des besoins réels en anneaux de plaisance sur l'ensemble du trait de côte vendéen". Christophe Chabot avait promis les résultats pour fin 2013, on attend toujours. Peut-être que Christophe Chabot en dira plus lors du show médiatique du 11 janvier 2013 !

Les conditions de la participation du Conseil Général de Vendée au projet de port de plaisance de Brétignolles sont claires. Il faut que les services de l'Etat aient autorisé la mise en chantier, donc que le Préfet de Vendée ait déclaré le projet d'Utilité Publique après la réalisation d'une enquête publique. Si ces conditions étaient respectées, le Conseil Général participerait à hauteur de 10% du coût du projet.
On sait aujourd'hui l'exigence du Préfet de Vendée, il veut qu'avant l'ouverture d'une enquête publique, on lui démontre que le projet est d'intérêt général majeur. Mission impossible !

Comme la communauté de communes du Pays de Saint Gilles Croix de Vie, le Conseil Général de Vendée ne donnera pas le moindre centime pour la réalisation des dossiers d'études du projet de port.
Ce qui signifie que tout ce qui a été réalisé sur le projet de port depuis 2003 et tout ce qui sera engagé par cette municipalité, jusqu'à son retrait de la gestion de la commune, seront financés uniquement par les contribuables Brétignollais. Mi 2013, en intégrant l'achat de la ferme de la Normandelière dans les comptes, les dépenses réelles dépassaient 5 300 000 euros. Aujourd'hui, avec ce que l'on sait mais que l'on ne peut pas encore dévoiler, c'est bien plus.

Pour arrêter cette gabegie, il faut dire stop à Christophe Chabot.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

il est vrai que ces faits sont condamnables, mais Chabot va comprendre, il en a fait des pires et des meilleurs.