mercredi 19 mars 2014
Normandelière et des bonnes raisons de ne plus croire Christophe Chabot
Chacun peut le constater actuellement, c'est Thierry Biron qui donne le tempo de la campagne électorale à Brétignolles sur Mer, Christophe Chabot est continuellement sur la défensive. Il sait que son projet électoral ne tient pas la route, alors il se contente de répondre aux opposants et de les dénigrer.
Christophe Chabot cherche toujours à avoir le dernier mot, pour laisser croire qu'il maîtrise la situation. Malheureusement, à chaque nouvelle intervention, il va un peu plus loin dans les mensonges, dans la désinformation, .. C'est tellement facile à démontrer qu'on se demande pourquoi tant de Brétignollais se laissent gruger ?
Christophe Chabot dit, posons-nous la question et donnons la réponse.
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Les Questions/Réponses
Un allié bien dérangeant pour Christophe Chabot
Les Questions/Réponses
Christophe Chabot a-t-il un projet de port de plaisance totalement nouveau sur le site de la Normandelière ?
NON, son nouveau projet, placardé dans une plaquette de la honte, a la même empreinte maritime que le précédent. La partie de Domaine Public Maritime concernée est protégée (Natura 2000 – ZPS, SCAP -en cours-) et sous surveillance (trait de côte), tout projet à cet endroit est voué à l'échec.
Christophe Chabot est-il assisté par les services de l'Etat pour l'étude d'un nouveau projet ?
NON, le préfet de Vendée lui a retiré l'aide des services de l'Etat en mars 2010 (lettre du 19 mars 2010)
Christophe Chabot mènerait-il un nouveau projet jusqu'à l'enquête publique ?
NON, parce qu'il faudrait qu'il démontre, au préalable, au préfet de Vendée, que son projet est d'intérêt public majeur. Un projet de port de plaisance ne peut pas être d'intérêt public majeur (article du 10 décembre 2013)
Le projet de port de plaisance de Christophe Chabot serait-il économiquement productif ?
NON, investir 42 000 000 d'euros (c'est un mini) pour 10 emplois directs permanents (c'est un maxi), une vingtaine d'emplois indirects, une cinquantaine d'emplois saisonniers, c'est cher payé (c'est investir près de 1 000 000 d'euros par emploi). A titre de comparaison, une crèche de 2 000 000 d'euros peut générer une dizaine d'emplois.
Avec Christophe Chabot comme maire, la commune continuerait-elle à s'endetter ?
OUI, le projet de port de plaisance sur le site de la Normandelière ne se ferait pas mais Christophe Chabot continuerait à dépenser, sans compter, des millions d'euros pour des opérations liées à son projet imaginaire (études, achats de terrains, communication, ..) comme il l'a fait lors de son dernier mandat (plus de 5 000 000 d'euros ont été dépensés à perte)
Avec Christophe Chabot comme maire, la paix reviendrait-elle sur la commune ?
NON, les Brétignollais continueraient à s'opposer, à se déchirer, à s'invectiver. La communication électorale outrancière de Christophe Chabot ne présage rien de bon pour la suite. Il n'y a aucun espoir de paix durable avec Christophe Chabot dont on connaît maintenant le comportement et les méthodes.
Christophe Chabot respecte-t-il la fonction de maire, respecte-t-il les opposants, les autorités, les commissaires enquêteurs, ?
NON, NON – lire l'article du 7 mars 2014
Christophe Chabot applique-t-il les règles environnementales ?
NON, souvenez vous de la destruction d'une partie de zone humide, de mares protégées, de haies bocagères sur le site de la Normandelière (article du 25 octobre 2013)
NON, souvenez vous de la coupure d'urbanisation, entre Brétignolles et Brem sur Mer, citée dans le POS de 1998 et oubliée dans les projets de SCoT du Pays de Saint Gilles Croix de Vie et de PLU de Brétignolles sur Mer (article du 15 février 2013)
Et il y aurait beaucoup d'autres choses à dire
Un allié bien dérangeant pour Christophe Chabot : Bernard Deleau
Les partisans de Christophe Chabot distribuent dans les boîtes à lettres un tract rédigé par Bernard Deleau, font la place belle, sur leur site internet, aux propos confus d'un Bernard Deleau mauvais perdant. La preuve est faite que BVSP est devenue une association politique et qu'elle est prête à accueillir, en son sein, toute personne qui cracherait son venin sur l'équipe de Thierry Biron.
La situation de Bernard Deleau est cocasse. Le dissident non démissionnaire de 2010, devenu candidat revanchard en novembre 2013 pour prendre la tête d'une liste d'opposition à Christophe Chabot avant tout le monde, est aujourd'hui un ex-candidat frustré qui veut se faire la liste à Thierry Biron simplement parce que celui-ci, et il avait raison, ne l'a pas accepté dans son rassemblement.
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