Le GVEP (Groupe Vendéen d'Etudes Préhistoriques) présente ses "prospections pédestres" pour l'année 2014. "Il s'agit de prospections pédestres sur un parcours de 10 km environ dans un milieu sableux et rocheux, souvent humide. Il faudra être attentif aux vestiges situés à la fois sur le trait côtier mais aussi sur l'estran"
Le mercredi 16 avril 2014, une "prospection pédestre" est prévue à Brétignolles sur Mer, du parking de la Normandelière au Petit Rocher (penser à s'inscrire).
Ce sera l'occasion de vérifier QUI a raison : Christophe Chabot ou les experts de la DRAC (voir article du 12 novembre 2013).
Mais peut-être qu'en avril 2014, les mensonges de Christophe Chabot et de son clan auront été définitivement balayés par les élections municipales.
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Petits Suppléments.
France 3 Pays de Loire du 3 février 2014 - Saint Hilaire de Riez : la dune de nouveau endommagée. Pour ceux qui voudraient voir l'érosion à Saint Hilaire de Riez : voir la VIDEO suivante
Canal Plus - La petite édition du 3 février 2014 - Municipales. Après Xynthia, comment tourner la page ? (lire vidéo à partir de 8')
Si vous imaginez - "Municipales. Après le projet de port de plaisance sur le site de la Normandelière, comment tourner la page ?" - vous pourrez faire quelques comparaisons.
On entend, à propos du maire, des phrases du type "des mauvaises décisions prises unilatéralement", n'est-ce pas applicable à Christophe Chabot ? Ecoutez ce que dit un conseiller municipal au sujet des commissions désignées par Christophe Chabot.
On entend, à propos du principal opposant, des phrases du type "démocratie participative", n'est-ce pas un engagement de Thierry Biron ?
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20 minutes - Planète du 4 février 2014 : Les catastrophes environnementales bientôt reconnues crimes contre l'humanité ?
Ouest France du 4 février 2014 - Inondations Saint-Gilles. La digue de la Félicité colmatée cette semaine. L'avenir de la ferme ?
3 commentaires:
En Avril 2014, cricri Plusketout a de fortes chances d'être redevenu totof Moinsquerien, politiquement bien sûr ,et cette seule idée doit le faire transpirer: "les ingrats, je leur ai donné des halles, des hlm, une médiathèque XXL, je veux leur donner un port(ce sont eux qui paieront évidemment, je ne suis pas chef d'entreprise pour rien)et ils auraient l'outrecuidance de me jeter!... Qu'ils se méfient, chabot,qui n'est pas bot, n'a pas dit son dernier mot."
Les catastrophes environnementales bientôt reconnues crimes contre l'humanité?
[ici]
JFL
Comme d'habitude BVSP, pas plus que Chabot ne se posent les bonnes questions:
BVSP préfère jeter l'opprobre sur les opposants que constater et réfléchir.
BVSP nous reproche de critiquer les travaux effectués après Xynthia pour la protection de notre littoral.
Encore une foi Brochet et sa bande n'ont rien compris.
Les travaux ont été faits à minima dans l'urgence, sans étude du contexte.On voit le résultat aujourd'hui.
Hormis son projet bling-bling et infaisable Chabot n'en a rien à faire du littoral Brétignollais.
Il l'a du reste affirmé en conseil municipal à l'époque en refusant la réhabilitation de la plage de la Parée.
Le problème aujourd'hui que tout le monde se pose est:
L’enrochement, est-ce efficace?
On sait que pour répondre à des situations d’urgence, l’enrochement représente, si les ouvrages sont bien faits et notamment leurs fondations, une solution rapide et relativement efficace, du moins pour la partie à protéger.
Mais on sait maintenant que dès le moment où on intervient dans un secteur donné, le problème d’érosion ne fait que se déplacer un peu plus loin.
Cette méthode a des effets néfastes et pernicieux sur le littoral qu'elle est sensée protégée.
Si elle semble efficace à court terme, à long terme, l’enrochement détruit carrément la plage et offre aux vagues de haute marée et de tempête la possibilité de les attaquer sévèrement.
En bout de ces enrochements (ce que les spécialistes appellent « l’effet de bout »), l’action des vagues est multipliée exponentiellement, ce qui fait reculer rapidement les talus attaqués (érosion latérale), tout en abaissant le niveau des plages (érosion verticale).
Le sable, au lieu d’être déposé sur la plage et la renforcer, est transporté plus loin ou même perdu vers le large par le ressac des vagues et les courants d’entraînement.
Certains ouvrages d’enrochement croulent littéralement sous leur poids et glissent vers la mer. Si l’ouvrage n’est pas entretenu à grands frais
Comme alternative à l’enrochement, les spécialistes se penchent maintenant sur une approche nouvelle qui consisterait à procéder au rechargement de la plage, autrement dit à la reconstitution des barrières de sable submergées qui brisent la vague et diminuent la force des courants.
Plus simplement, on intervient pour redonner à la plage ce que la mer lui a enlevé.
Facile à dire, pas si simple à faire mais surtout avec un coût non négligeable.
Tout cela demande surtout analyse, expertise et volonté , choses qui ont totalement manquée à Chabot et ses sous-fifres de BVSP.
Avec Chabot tout est possible, surtout le pire.
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