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Bienvenue et Merci pour votre soutien et pour votre aide - Enquêtes Publiques débutées le 20 juin 2011 et terminées le 18 août 2011 à 17H30 - Avis de l'Autorité Environnementale défavorable - Avis de la Commission d'Enquête défavorable - Le projet actuel est rejeté par l'Etat - Le préfet de Vendée ne veut pas d'un port de plaisance sur le site de la Normandelière - Le nouveau défi : le SCOT du Pays de Saint Gilles et le PLU de Brétignolles -

mercredi 5 février 2014

Normandelière et si le Département perdait la compétence économique !













Ouest France du 5 février 2014 - Vendée : Le Département s'interroge sur ses compétences.
Le Conseil Général souhaite "une liberté d'initiative absolue". Notamment en matière économique. Ce secteur pourrait lui échapper avec la suppression de la clause de compétence générale.

Si la compétence économique était uniquement du ressort du Conseil Régional, Christophe Chabot pourrait ranger ses illusions au placard. Il ne pourrait plus compter sur la subvention (10% du coût de son projet de port) promise par le président du Conseil Général de Vendée, Bruno Retailleau.
Le Conseil Régional des Pays de Loire s'est toujours prononcé contre le projet de port de plaisance sur le site de la Normandelière. Il n'y a jamais eu de subvention régionale pour un tel projet.
Faut-il rappeler que ce sont les contribuables Brétignollais qui ont financé, à la date d'aujourd'hui, le rêve de Christophe Chabot et de son clan, c'est plus de 5 300 000 euros gaspillés pour RIEN.

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Petits Suppléments

Ouest France du 5 février 2014 - Tempête en Vendée. A Saint-Hilaire, du sable encore emporté cette nuit
"Le Havre de la Gachère
Autre lieu sous surveillance: Le Havre de La Gachère, entre Brétignolles et Olonne. Les murs, situés de chaque côté de la porte écluse située sur l'Auzance, présentent quelques fissures.
A Brétignolles-sur-Mer
Enfin, à Brétignolles, des enrochements sont partis. Cela nécessitera des petits travaux mais la situation n'est pas jugée inquiétante"

Escale Maritime - la mer dans tous ses états - le 4 février 2014 : Quand les aménageurs se moquaient de la mer. Sans jouer les oiseaux de mauvais augure, il est permis de rappeler, une fois de plus, aux Pouvoirs publics, gestionnaires, municipalités, exploitants touristiques, etc. cette banalité cent fois répétée : Quoi que vous y fassiez, la mer sera toujours la plus forte…

Ouest France du 5 février 2014 - Brétignolles : "Pas de bétonnage" demande Thierry Biron



















L'aveu de BVSP sur leur blog.
"..nous avons décidé de nous concentrer sur la campagne électorale qui va s’avérer décisive pour l’avenir de notre commune en répondant au coup par coup aux attaques de plus en plus violentes d’opposants.."
L'association partisane BVSP a décidé de se concentrer sur la campagne électorale !
Ils occupent donc la ferme de la Normandelière (un bien de la collectivité locale), avec la bénédiction de la municipalité, pour soutenir le projet électoral du maire candidat !
Aujourd'hui, la ferme de la Normandelière est devenue la permanence électorale de Christophe Chabot dont le projet électoral phare est celui du port de plaisance, son avenir exemplaire (lire attentivement l'édito de Christophe Chabot page 3)
Il va falloir regarder les comptes de campagne du maire candidat de près.

Sud Ouest du 5 février 2014 - Erosion à Lacanau : Le Kayoc devra consolider sa terrasse.

Sud Ouest du 5 février 2014 : Cargo coupé en deux à Anglet









Ouest France du 6 février 2014 - Ports de Plaisance : La fronde bretonne.

15 commentaires:

Girard du Marais a dit…

A propos de comptes de campagne, les colistiers de Christophe Chabot peuvent-ils être tenus solidairement responsables des engagements et initiatives pris par Christophe Chabot ? Oui, sauf erreur, s'ils sont comptables de fait ou de droit, autrement dit 'ils ont mis les mains dans la "cuisine électorale". Détrompez-moi si je m'abuse.

Cela étend à un certain nombre de personnes de son entourage personnel et politique les risques encourus en cas de poursuites. Une menace à ne pas prendre à la légère, quand le patrimoine que l'on possède n'est pas considérable…
Cette solidarité administrative et pénale peut expliquer la violence de la défense : plus les risques encourus sont grands, plus on "lâche les freins"… Perdu pour perdu, autant tout faire sauter, et en attendant de perdre, essayons de sauver tout… Tel peut être le calcul de l'entourage de Christophe Chabot.

Anonyme a dit…

Je viens de lire le blog de BVSP et je suis effaré par les propos à l'encontre des opposants ....il n'y a aucun propos visant C.C. et ils parlent de "haine viscérale"...ils auraient peut-être envie d'orienter la campagne dans ce sens car ils n'ont pas d'arguments de campagne (ayant dépensé beaucoup !!!)mis à part leur projet de port...
Une campagne est une campagne ,la démocratie permet aux opposants de critiquer la mauvaise gestion du maire ....
ce n'est pas l'homme C.C. qui est visé ,c'est sa fonction et sa gestion ,il ne faut pas tout mélanger !!!
Mais ,savent-ils ce que veut dire "démocratie "?????THAT'S THE QUESTION !!!!!!!!!!!!!!

Anonyme a dit…

Le site,nos finances locales .fr fournit une série de cartes très intéressantes sur les finances locales par habitant de toutes les communes de FRANCE
facile à utiliser pour comparer

le Girard Enchaîné a dit…

Normandelière et "l'Âne ne voit toujours rien venir".
Intéressante, la lecture de la page 3 de l'Avenir Exemplaire.
L'"hubrique édile" y reconnaît son "incroyable naïveté".
Puis il récidive dans l'entêtement naïf en évoquant "la collaboration avec les autorités de l'Etat".
Il nous remet ça avec "un important déficit d'anneaux sur le littoral français", en oubliant la fameuse étude du Conseil Général de Vendée , qui devait sortir avant la fin de l'année sur la demande d'anneaux en Vendée, et ... on ne voit toujours rien venir.
Bizarre! Après avoir reconnu sa naïveté vis à vis de l'Etat , va-t-il s'avouer "berné" par des représentants départementaux ?

P.S.
Petit rappel pour ceux qui n'auraient pas lu René Girard :
HUBRIS : Chez les anciens Grecs, démesure, outrance dans le comportement, sentiment violent né de l'orgueil, et qui allait jusqu'au dépassement des limites. Il pouvait conduire à la faute majeure : l'offense envers les dieux.

J'espère que René du Marais ne m'en veut pas d'abuser de mon néologisme préféré :"hubrique" tant je le trouve approprié.

Anonyme a dit…

Un comparatif entre les comptes d'exploitations prévisionnels de Port Brétignolles et les ports de plaisance des Sables et de St Gilles est tout à fait édifiant.
Le compte prévisionnel d'exploitation figurant dans la dernière plaquette ( non distribuée ) fait état de 260.000 euros HT de redevances d'amodiation et de 1.670.000 euros HT de location annuelle.
Sur les bases de tarifs des ports précités ceci correspond ( en prenant comme moyenne un bateau de 7,50 à 8 m) à 470 places amodiées et à 950 places en locations à l'année. Soit un total de 1420 places, non cohérent avec le chiffre de 1000 places annoncé.
A moins que les tarifs prévus soient nettement supérieurs à ceux des ports environnants. A suivre...

Anonyme a dit…

Le déficit de 54000 anneaux c'est du pipeau !!!
Selon la Fédération française des ports de plaisance (FFPP), en 2008 on dénombrait en France (métropole et DOM-TOM) 180 ports de plaisance (maritime et fluvial), ainsi que 370 installations d'accueil (parfois simples bouées) soit 166 000 places au ponton et 60 000 places au mouillage1,2. 48 % de ces ports et installations sont gérées par une régie publique2. Le besoin serait de 54 000 places supplémentaires selon la FFPP, et 20 000 selon l'Union nationale des associations de navigateurs (UNAN), avec 76 % des plaisanciers inscrits sur liste d'attente qui possèderaient déjà une place (UNAN). Selon le cabinet Horizons Experts, près de 28 000 places seraient occupées par des plaisanciers de plus de 70 ans, qui dans les années futures seront libérées alors que les générations suivantes semblent se détourner de la plaisance (- 25 % d'immatriculation de bateaux neufs en 2009)1.

Et oui, déjà en 2009, 76 % des inscrits en liste d'attente possédaient une place de port, le vrai besoin n'était donc pas de 54000 mais de moins de 13000.
Depuis la crise économique est passée par là et les jeunes retraités sont en voie de disparition. Résultat, des places disponibles dans quasiment tous les ports de Vendée. Il n'existerait plus de liste d'attente à Port Olona et celle de St Gilles Croix de Vie aurait fondue comme neige au soleil.

Anonyme a dit…

Anonyme de 17h26,

Je confirme votre conclusion !
Il y a un an et demi, j'ai demandé une place à Olonna et on m'a quasiment certifié qu'il faudrait attendre 5 ans pour avoir une place !
Il y avait plus de 100 demandes, dans ma catégorie, en attente devant moi.
Il y a peu on vient de me faire savoir que j'ai une place si je le souhaite !

Donc le baratin de Chabot et de Crochet, c'est du pipeau !

Anonyme a dit…

BVSP le magnifique !

Le rédacteur du dernier article de BVSP pleurniche, juste histoire d'appitoyer les électeurs pour s'attirer leur sympathie !

Il faut rétablir la vérité et commencer par répondre à cette question que pose BVSP :

"Le maire pourrait-il aujourd’hui dire ou faire quelque chose qui trouve grâce à leurs yeux ?"
(sous-entendu les yeux des opposants)

Eh bien brochet, si c'est vous le rédacteur, la réponse c'est "NON", le maire ne peut rien faire et rien dire qui trouve grâce à nos yeux !

On vous le répète souvent, chabot a trop provoqué, manipulé, ignoré, méprisé, dépensé, ruiné les finances de la collectivité, et insulté :

- Les services de l'Etat
- L'autorité environnementale
- Les membres de la commission d'enquête
- Les opposants (moins que rien)

Celà ne lui sera jamais pardonné !
d'où le slogan qui doit prévaloir:

"CHABOT DEGAGE !"

Et çà, çà n'est pas de la haine, ni de la revanche, même pas de la méchanceté, mais de la justice !!!

Girard du Marais a dit…

Deux petits points :
Un : Que l'enchaîné de service se rassure, ma lubricité ne s'alimente pas de l'hubris de mes contemporains…!

Deux : à propos des anneaux du prétendu port : le projet de port exemplaire, je l'ai déjà fait savoir sur ce blog, est considéré par les spécialistes de l'environnement et les experts en normes environnementales comme ce qu'il peut exister de plus exigeant en la matière.
Autrement dit, le prétendu port impose, exige, requiert que les bateaux qui y soient admis soient EUX AUSSI les plus perfectionnés, les meilleurs, aux dernières normes. Donc, les 1200 anneaux doivent IMPERATIVEMENT être occupés par des bateaux NEUFS !
Sinon, les rejets dans le port deviendraient excessifs, et les objectifs de préservation de l'environnement inatteignables.
Les prétendants à un anneau, possédant éventuellement une vieille coque de noix, ont-ils été informés de l'OBLIGATION d'acheter un bateau NEUF pour utiliser un anneau ?
Cet impératif a été soigneusement caché par les défenseurs du port, bien qu'en les poussant dans leurs retranchements ils n'aient pu le cacher vraiment.
Cet impératif motive également le soutien des chantiers navals vendéens au projet, soutien dont s'est toujours paré Christophe Chabot. On comprend les raisons de ce soutien, puisqu'ils bénéficieraient totalement du portefeuille de commandes du port : achetez chez Beneteau et vous gagnerez six mois pour avoir votre anneau !
Ils ont tous rêvé à ce beau conte de fées, sauf que l'enquête publique l'a démontrée : le conte de fées est impossible ! par 7à 0 !
Ah ! dernier détail : un port rentable possède une proportion de petites unités s'élevant au maximum à 50%. Or les plaisanciers de Brétignolles sont à 80% des petits plaisanciers, propriétaires de petites unités. Le port ne répond pas à leur demande. Tout cela, les défenseurs du port l'ont caché.
S'il n'y avait que ces mensonges-là dans la communication du port, ce ne serait pas grave...

Anonyme a dit…

incroyable, on ne parle plus que du port, pourtant il est mort.
expliquez nous ?

Anonyme a dit…

En parlant de feu le port, on parle des mensonges de Chabot

Yvon le yonnais a dit…

Bonsoir, travaillant à la préfecture, je suis de loin ce projet de port..je suis ni pour, ni contre, ça me laisse indifférent, mais je suis quand même au courant de certaines choses confidentiel..donc je n'ai pas le droit d'en parler, mais tout ce que je peux vous dire, c'est que vous pouvez être tranquille, le port ne se fera jamais, c'est impossible, même avec la meilleur volonté du monde..

Une Brétignollaise convaincue a dit…

A Yvon le Yonnais : Merci de votre commentaire,mais il y a bien longtemps qu'on sait que jamais un port ne verra le jour à la Normandelière,même avec la mauvaise volonté du maire actuel!Le sujet est comme le projet:dépassé.
Cordialement

Anonyme a dit…

Chabot et Brochet,
le rouleur de brouette avec ses 2 000 demandes d'anneaux ou 10 000on ne sait plus !!!

Vous êtes invités à lire rapidement le commentaire d'Yvon le Yonnais de 22h34 ! histoire de vous mettre le nez dans vos mensonges et de vous les faire bouffer !

Tout le monde savait qu'u n port était irréalisable, mais là c'est confirmé par une personne faisant partie des Services de l'Etat !

Personne ne pourra plus ignorer qu'en abusant ainsi de la crédulité des Brétignollais, pour faire croire qu'un second projet de port est en cours, vous êtes des individus abjects !

Et dire que Chabot veut baser sa campagne, notamment, sur le projet de port !
C'est vraiment la plus belle escroquerie politique jamais vue !

Anonyme a dit…


Mais qui est derrière Chabot pour le pousser a aller au bout de ce projet?
Intérêt immobilier?
Pression de l'industrie nautique?

Aurait il fait trop de promesses

La vérité sortira un jour ou l'autre