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lundi 12 novembre 2012

Normandelière et le Vendée Globe fait de l'ombre à l'Ak(h)éna(ton)

S'est Arnaud Boissières qui est sous le feu des projecteurs actuellement, pas Christophe Chabot et l'Akhénaton n'aime pas ça.

L'Akhénaton n'aime pas la voile, ça se voit et ça s'entend (article du 16 novembre 2011, Ouest France du 9 novembre 2012)


L'Akhénaton visait la députation, encore un loupé !



L'Akhénaton aime le cinéma, ça on le sait !






L'Akhénaton aime les projets pharaoniques impossibles qui lui permettent de se mettre en avant, ça on le sait aussi.








2 commentaires:

Anonyme a dit…

bonsoir,

le projet de lotissement (à l'arrêt) en face du dolmen n'est-il pas illégal ?
je croyais que l'on ne pouvait pas batir à côté d'un monument historique ?

merci

Olivier RICHARD a dit…

Au lendemain de l’euphorie du départ du Vendée Globe, une réflexion personnelle surgit et je vous la livre.

Je suis à la fois triste et révolté qu’un personnage indissociable du Vendée Globe ne fût quasiment jamais évoqué, à savoir son créateur Philippe Jeantot. Certes il a commis des erreurs, mais certains on tout fait pour lui mettre la tête sous l’eau et s’accaparer son œuvre.

Je suis inquiet du devenir de cette course qui risque de suivre le même sort que le Paris-Dakar (qui n’en a plus que le nom).
On se souvient des débuts avec les frères Marreau, où tout le monde pouvait s’identifié à leurs performances au volant de la voiture de chacun d’entre nous.
Le marketing, la pub, le fric a fini par très vite tout gâcher.

Je partage l’avis de Titouan Lamazou qui dit que dans les conditions d’aujourd’hui il ne se verrait pas repartir pour l’aventure.
J’espère que ses propos seront entendus.

Si les hommes et femmes navigateurs sont restés authentiques dans la dureté de leur exploit, la frénésie médiatique qui leur est imposée devient indécente. (Je parle des rotations radio et vidéo obligatoires chaque jour).

Les enjeux qu’il y a derrière eux les dépassent, et l’on arrive même aujourd’hui sur les TV ou journaux ne plus voir citer le nom du navigateur, mais uniquement celui du sponsor du bateau.
Vont-ils devenir les hommes sandwichs que sont les coureurs du tour de France ou les pilotes de F1?

Vous allez me dire que les skippers ont besoin de sponsors pour mener à bien leur projet. Certes, mais les profits réalisés en terme de retombées pour ces sponsors sont énormes ne serait ce qu’en terme de publicité brute dans l’ensemble des médias.

Et qui plus est qui dit sponsor ne dit pas mécène comme beaucoup le laisse croire.

Nous ne pouvons qu’être admiratif voir envieux face à ces marins, mais ne soyons pas si crédule devant leurs financiers qui n’agissent pas pour l’amour du marin (pour la plus part) mais pour l’intérêt des retombées qu’ils récoltent.

Chabot dans sa communication irréfléchie a été sans doute honnête pour une fois !