Normandelière et il ne faut plus cuirasser le littoral

Ouest France du 18 décembre 2012 : "Faut-il prendre ou rendre les terres à la mer ?", une conférence aux Sables d'Olonne
La Vendée possède de nombreuses constructions en bord de mer. L’élévation progressive du niveau de la mer accentue le danger de submersion. Les vagues frappant le littoral seront de plus en plus violentes, annonce le spécialiste international des littoraux - Fernand Verger- . Pour protéger les zones habitées, on entreprend de surélever les digues. C’est bien, mais il faut soigner leurs revers si l’on veut qu’elles résistent. Mais il ne faut pas tout bloquer. Dans certaines zones, on peut accepter une submersion partielle des digues, il ne faut pas s’évertuer à cuirasser le littoral.
Dans l'article complet de la version papier de Ouest France, Fernand Verger, dans la rubrique "qu'est-ce qu'il ne faut pas faire ?" dit "je suis également plutôt hostile au projet de port à Brétignolles pour des raisons naturalistes. La zone d'une grande richesse biologique devrait être davantage valorisée. Mais pas de cette façon" Et pan dans le bec de Cricri !

Sud Ouest du 19 décembre 2012 : Lacanau "site-atelier pour contrer l'érosion".
Dans le cadre d'un appel à projet national, Lacanau a été retenue pour travailler sur la relocalisation du front de mer. Il s'agit de préparer une réorganisation urbaine.

Avec son projet de port de plaisance, Christophe Chabot veut cuirasser le littoral Brétignollais, non seulement il est sourd à l'avis du préfet de Vendée mais il est sourd à l'avis de tous les spécialistes du littoral, hormis Jean Bougis qu'il paie pour défendre son projet.
Christophe Chabot veut continuer à aménager le littoral, à urbaniser comme avant pour générer toujours plus de profit alors que d'autres préparent la réorganisation urbaine de nos côtes, le retrait des habitations, pour protéger les populations futures.

Petit Supplément : Commentaire du gâtchénou du 19 décembre 2012, le veu que l'gâs d'la Chapèlairmié dégage et l'a raison.

Salut les gâs d’ Bertignôôlles ?
Oléma, L’gâtchénou. Voum’ connéssez à c’ture !
Ah ! à matin i sé contin, i voué qu’ola do gens qui réfléchissant à skiss’ passe à Bertigôôlles, pi dame aussi aux zécarts, (aux zalentours si vos préférez).
Ola do gâs pi do feuilles qui c’mançant à s’rende conte, qui quo lé tcho fid’ vesse d’gâs d’la Chapèlairmié. Olé t’une catastrofffe ! Le se fout do minde, le rigole bé, pi to l’minde dit Amen. Mé o c’mence à changeaïlle.
To l’minde s’ren compte qu’lé là, jusse por le pognon. 
Le pognon. Le pognon, pi encôre le pognon.
Le pognon por li, mé seurtou le pognon dé zautes, por li.
Quand to l’minde o zaura kimpri ça, o s’ra fini.
Fini l’gâs d’la Chapèlairmié. rabas té gaïlles.
Fini l’gâs d’la Chapèlairmié, qui fé d’lessbrouffe.
Fini l’gâs d’la Chapèlairmié, qui monte ses musques
Fini l’gâs d’la Chapèlairmié, qui dépense à toréatravers
Fini l’gâs d’la Chapèlairmié. ton port ré mort.
Fini l’gâs d’la Chapèlairmié. d’prende to l’minde por dé cons.
Dégage. Olé c’t’as d’meu ra faire. I t’avons zassé vu.
Mé attentien, ialons d’mander do comptes. Olé tro facile.

Bravo aux feuilles de Bertignôôlles.
Bravo à la Brétignollaise de 12 :21. mé t’avis qua voué bé quiaire
Bravo à la Paréenne, qu’ora do mal a sauver soune olivier d’La Parée
La Parée… une honte de vouère c’qu’olé d’venu.
Comme disait l’aute : L’avenir de Bertignôôlles é la feuille. Paripri!
Allez à bétou
Oléma, L’gâtchénou