Sud Ouest du 14 novembre 2011 - Homophobie : les propos de Johnny Hallyday créent la polémique à Bordeaux.
En dehors de la polémique bien méritée pour des propos inacceptables que le chanteur tente d'amortir mais qu'il a réellement dits (en y associant son copain Delon aussi citoyen suisse), un paragraphe de l'article de Sud-Ouest est particulièrement intéressant, celui où la mairie de Bordeaux affiche les grandes lignes du contrat passé avec l'organisateur de la tournée de Johnny pour le spectacle du 3 juillet 2012 au stade Chaban Delmas.
"L’organisateur prendra à sa charge la totalité des dépenses afférentes à ce concert, notamment celles concernant la remise en état de la pelouse, si nécessaire. Il assurera le nettoyage du stade et devra répondre de toutes les dégradations, déprédations induites par la manifestation qui pourraient être constatées par les services municipaux. De plus, les aménagements, travaux et prestations, que l’organisateur souhaitera réaliser, seront exécutés à ses frais après avoir obtenu l’accord des services municipaux. En contre partie de la mise à disposition du stade Chaban Delmas, l’organisateur versera une redevance financière fixée à 30 000 euros et mettra gratuitement à la disposition de la Ville 445 places.".
La question est simple, Christophe Chabot a-t-il négocié un contrat de ce type pour le spectacle de Johnny du 26 juillet à Brétignolles sur Mer? En particulier, les travaux de préparation, de mise en sécurité et de remise en état de la Zone du Peuple où aura lieu le concert, seront-ils pris en charge financièrement par l'organisateur?
Les Brétignollais doivent se mobiliser pour savoir.
Tout ça n'a peut-être rien à voir avec le projet de port de plaisance de Brétignolles sur Mer mais Christophe Chabot procède toujours de la même façon, ses méthodes sont limites et finiront par mettre en difficultés financières la population locale.
mercredi 14 décembre 2011
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1 commentaire:
C'est bizarre qu'un bisexuel n'aime pas les pédés, mais enfin pourquoi
pas?il n'est pas à une contradiction près, et Bretignolles non plus qui
s'enfonce dans la dette sous l'ère
Chabot.
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